Astuces et conseils pour une ligne parfaite

On le sait, une consommation excessive de sucres est « carrément » mauvaise pour la santé! Elle favorise le surpoids, l’obésité et peut même faire apparaitre un diabète de type 2.

Le sucre est aussi responsable de troubles digestifs, du syndrome de l’intestin irritable (Candida Albicans), de migraines, d’anxiété, de dépression, de caries ou de kilos en trop !

Les sucres jouent à « cache-cache » dans l’alimentation industrielle. Ils sont ajoutés partout dès le petit-déjeuner avec : le pain de mie, la brioche, la confiture, les yaourts aux fruits, les jus de fruits en bouteille, les céréales.

L’excès de sucre est alors stocké dans le foie, mais surtout il est emmagasiné dans les cellules adipeuses qui vont le stocker avec grand plaisir et engendrer une prise de poids.

A savoir, que plus la quantité de sucre est importante, plus cela va faire travailler le pancréas et donc faire chuter la glycémie parfois très rapidement. Cela provoque alors une hypoglycémie responsable de fringales qui poussent à reprendre… des produits sucrés !! Nous voilà pris au piège dans une spirale infernale, au secours !!!

En pratique pour cuisiner moins sucré, il vous faut :

  • Des épices | La cannelle (qui en plus va réduire les envies de sucre) et la vanille apportent de la saveur et parfument vos recettes de façon douce en faisant illusion.
  • Du chocolat (Ah, un sourire !) | Noir à 80-85% de cacao, à croquer ou sur des brochettes de fruits ou fruits cuits (poire, banane,…)
  • De la noix de coco | Râpée dans les desserts pour une touche exotique et savoureuse.
  • Du sirop d’agave | Le +, un IG bas (19) qui limite les pics d’insuline, mais doit être consommé avec raison car il apporte tout de même des calories!
  • Des fruits secs | Dans la pâtisserie, dans les laitages, mixés, coupés en petits morceaux
  • Coulis de fruits | Fruits parfumés et sans sucres ajoutés. Framboise, fraise, pêche, ananas, mangue…

Alors, ça y est ? Vous avez abandonné votre salière, remplacé les « en-cas » salés par les fruits et vous mangez rarement des plats préparés ou à emporter ?

Malgré tout cela, selon l’avis de l’ensemble des médecins généralistes et diététiciens-nutritionnistes, ce n’est pas suffisant ! En effet, selon une étude britannique effectuée en 2014  (National and Nutrition Survey), il semblerait qu’au cours des 10 dernières années, nous avons globalement réduit notre apport journalier de sel de 9,5 g à 8,1 g seulement.

C’est encore 2 g au-dessus des recommandations journalières, et 6 femmes sur 10 consomment bien plus que les 6 g recommandés.

Mais alors ? Quels sont les dangers d’une alimentation trop riche en sel ?

En plus d’augmenter notre risque d’hypertension artérielle, qui peut mener à l’infarctus et aux maladies cardiovasculaires, une trop forte consommation de sel augmente également la fuite du calcium osseux, nous rendant plus susceptible à l’ostéoporose. Les autres risques comprennent l’insuffisance rénale, les calculs rénaux, la démence, le diabète, l’asthme et le cancer de l’estomac.

Pour prendre conscience du problème, il faut encourager encore davantage la réduction de notre consommation de sel, notamment grâce à la lecture et au contrôle des étiquettes, mais aussi en cuisinant davantage du « fait-maison » de A à Z.

La raison ? Il ne s’agit pas seulement des sources évidentes de sel dans notre alimentation – saucisses, charcuterie, chips, sauces, fromage, pizza, céréales etc. – aliments que nous devrions normalement manger en quantités moindres.

Ce qui est inquiétant, ce sont les aliments et les ingrédients que nous pensons être bons pour notre santé et qui peuvent aussi être remplis de sel. Bien souvent, ils en contiennent plus dans une portion type recommandée que dans un petit paquet de chips salés.

En pratique :

La nouvelle législation européenne stipule que d’ici fin 2016, tous les plats préparés auront l’obligation d’afficher leurs apports en sel. Heureusement, la plupart d’entre eux le font déjà, il vous suffit de vérifier le tableau des valeurs nutritionnelles.

Les aliments contenant moins de 0.3g de sel par 100g sont peu salés ; plus de 1,5g par 100g ou 1,8g par portion sont trop salés.

Les anciens emballages peuvent encore afficher les valeurs en sodium, il vous suffit alors de multiplier ce chiffre par 2,5 pour obtenir l’équivalent en sel.

Pour plus d’informations sur le sujet, n’hésitez pas à me contacter ou laisser un commentaire ci-dessous !